Blog d'une victime de la métropole

03 septembre 2007

Une seule fois ....

Il n'aura fallu qu'une fois. Une toute petite fois. Quelques phrases, 2 ou 3 sourires, mais malgré tout qu'une seule fois. Une fois où je regrette de ne pas avoir demandé plus. Une fois où j'ai trop investigué après, mais trop peu pendant. Une fois où j'aurais dont dû... dû risquer. Mais risquer quoi au juste, si ce n'est le refus d'une inconnue. Peu importe, la vie étant ce qu'elle est, la Belle a continué son chemin. La tête haute et l'allure de rêve, un sourire permanent, intéressé et des yeux qui sourient tout autant. Une voix douce et enjourée, voire même sensuelle. Un tout petit rire qui m'aura au moins fait rêvé pour une journée. Cette journée qui sera Belle et c'est grâce à toi.

Je te remercie d'exister, et de t'être glissée sur mon chemin ce matin là.

Aujourd'hui je remercie cette fois, cette toute petite fois.

03 mai 2007

Les hasards de la vie ...

Une rencontre tout à fait forfuite vient de me rappeler que mon blog existe.

Et aussi que je le néglige depuis beaucoup trop longtemps !!

Mais bon ... y se passe trop de chose dans ma vie dans le moment pour que je trouve le temps de m'installer devant mon écran et partager tout ça. C'est ça un printemps de célibataire !!!!

Ça, et aussi les 8 pages de texte en Arial 10 que j'ai écrit en route vers Val d'Or qui sont disparues ... j'emmerde la technologie. C'était croquant ! ahahaha

À bientot !! Sortez dehors ... le temps est si beau ...

Et la fille que je viens de croiser aussi !!!

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11 avril 2007

Mademoiselle H (Suite ... et fin !!)

Désolé encore des délais. Ça rend les histoires dures à suivre j'en conviens. Je fais faire de gros efforts. Merci Karine de me botter le cul !!

Alors comme je disais, Mademoiselle H s'en vient chez mon ami avec son amie, que nous surnommerons Mademoiselle I, au cas ou son nom referait surface un jour. Avec la vie que je mène ces temps-ci, rien n'est plus probable. Mademoiselle H fait son entrée, avec son enthousiasme et son entrain habituel. Monsieur A ne comprend pas trop pourquoi on s'entend si bien moi et elle. Il ignore qu'on s'est reparlé à quelques reprises sans qu'il ne le sache. En tant que petite rigolotte qu'elle est, elle se met biensûr sur mon cas, bitchant comme bon lui semble. Je m'en sors pas trop mal et c'est avec une bière à la main qu'on fait route vers l'unique voiture que nous prendrons pour sortir. Oui, cela implique que tout le monde retourne coucher chez Monsieur A. Ça promet.

Nous arrivons au Club A, établissement de danse et de consommation d'alcool duquel nous tairons le nom pour préserver l'anonymat des gens pouvant s'y trouver. Les filles sont belles et nombreuses. Monsieur A me dit à l'oreille : Le prochain coup on vient pas de filles. Et moi de me dire à moi-même : pareil comme si c'était mon idée !!

On est 4, deux gars deux filles. On danse ensemble tout le monde, amicalement. Le regard de quelques-unes des demoiselles présentes me fait en effet regretter d'être accompagné. Mais bon, on est ici pour avoir du FUN. Pas pour chasser ?!? Alors on boit, on danse... et c'est la joie !! Je danse un petit peu avec Mademoiselle H mais je fais bien attention de ne pas aller trop loin, étant donné l'attirance marquée de mon ami Monsieur A pour celle-ci. Lorsque Mademoiselle I (l'amie) décide d'aller fumer dehors, c'est 3 bêtes de la danse en sueur qui la suive question d'aller se rafraîchir un petit peu. Il fait froid. Mon chandail servira donc d'abri non seulement pour moi, mais aussi pour Mademoiselle H, qui grelote comme deux dentiers lousses atteints de Parkingson. Monsieur A nous regarde croche. Je fais comme si je ne le voyais pas et j'expulse Mademoiselle H de ma chaleureuse et accueillante emprise. On retourne danser, avec de s'installer à une table et boire quelques derniers verres. Au passage, je remonte un peu le moral de Mademoiselle I, qui est toute déboutée après avoir reçu des messages textes d'un ex cave. Je laisse un peu Mademoiselle H de côté volontairement pour ne pas nuire à ma relation avec Monsieur A.

Et c'est là qu'on rentre dans la partie psychologique de la chose : POURQUOI, vous mesdames, lorsqu'on vous met de côté, qu'il y ait un attrait quelconque ou non, ça vous allume ??? Je connaissais le phénomène mais je ne l'avais pas vécu depuis un petit bout. Jusqu'à ce qu'on vienne pour sortir du Club A. Monsieur A sort en premier, suivi de Mademoiselle I. (Je soupçonne le coup monté...). Mademoiselle H profite de ce seul et bref instant où nous sommes seuls pour me garocher (le terme est faible) au mur et me frencher ça à pleine bouche. Un spasme ? Une pulsion ? Personne ne le sait. MAIS ... ce que c'était bon comme surprise !!!

On sort finalement. On fait route vers chez Monsieur A. On dort tous là. On reste sage. On s'embrasse un peu ... et c'est tout. On s'en reparle par la suite et les deux on se sent mal à l'aise par rapport à Monsieur A. Il n'y aura pas de suite. On va la rajouter dans la case des bonnes amies. On s'entend bien depuis. Fin de l'histoire ...

20 mars 2007

Mademoiselle .. euh ... H. c'est ça ???

Vous croyez que je vous avais oubliées ? Quelques fidèles lectrices ? Pas du tout !! J'étais en plein processus de restructuration de la gestion de mon temps. Moins de temps passé devant l'ordinateur, plus avec mes amis. Une nouvelle fréquentation qui s'est avéré être un échec. Ensuite le calme plat. Une trève dans la course à la femme parfaite, que ce soit dans le métro, dans l'épicerie, dans la station-service ... où sur un site internet quelconque. Vint ensuite un quasi dédain pour toutes ces inconnues à la chasse. Chassant je ne sais trop quoi ( elles non plus d'ailleurs ... ) mais chassant quand même.

Un soir où je m'échappais justement de ce cercle vicieux pour sortir avec des amis de gars, il m'a été donné de rencontrer une demoiselle (on est rendu à H je crois ?). Étant moi-même accompagné de Mademoiselle A, avec qui il ne se passe plus rien depuis longtemps, je me suis contenté de lui jaser ça un peu, juste assez pour la trouver bien cool, sympathique, drole et, bien entendu, jolie. Je n'aurais surtout pas voulu choquer mon ami, Monsieur A., lui qui l'avait amené, en passant pour le gars qui s'approprie l'objet de convoitise de son comparse ! Surtout qu'il ne semble pas trop trop me faire confiance ... je ne sais trop pourquoi !! Une blague m'apporta le numéro de téléphone de Mademoiselle H. Ce fut le dernier soir où je parlai à Mademoiselle A. ENCORE une histoire ridicule de malentendus desquels je suis tanné depuis longtemps.

Deux semaines plus tard, j'ai l'occasion de la rappeler pour l'inviter à une soirée où je me dirige avec pleins de gars et bien entendu mon ami, Monsieur A., qui me l'avait présenté. Je me dis qu'il sera sûrement bien content de la voir, lui qui semble bien l'apprécier et qui surtout ne m'a parlé que de 2 filles depuis les 5 ans que je le connais. Elle et son amie n'ont malheureusement pas pu venir. Je l'avais invité pour bien faire. Lui ne l'a pas pris comme ça. Il m'en a voulu d'avoir gardé son # de téléphone. Il m'en a surtout voulu de l'avoir rappelé. Il ne me l'a pas dit, mais je l'ai senti en lui reparlant par la suite. J'ai eu la confirmation lorsque Mademoiselle H. m'a dit qu'il avait trouvé ça bizarre que je la rappelle.

Je laissai donc s'écouler deux semaines et je rappelle mon bon ami, Monsieur A., pour aller prendre une bière. Je ne me mettrai certainement pas un de mes très bon amis à dos pour une demoiselle que je connais à peine, aussi intéressante qu'elle puisse paraître. Il accepte et je vais donc le rejoindre chez lui. Aucune trace de rancune palpable mais, surprise, le téléphone sonne. C'est elle. Il tente de la convaincre de venir avec nous mais manque d'arguments pour lui faire renoncer à ses plans de soirée déja établis. Il me la passe, je ne sais pas trop pourquoi. Je la convainc de se joindre à nous pour une soirée qui s'annonce bien arrosée. C'est peut-être pour ça qu'il doute de moi au fond ?? Peu importe. Elle s'en vient avec son amie.

La suite est .... savoureusement à suivre ;)

17 mars 2007

REBONJOUR !!!!!

Heyyyyyy !!!

Je revis enfin !!! L'hiver fut le pire rush de ma vie. En ma qualité de jeune professionnel, je me devais de faire passer le travail avant ma vie !! (Brrr)

Je suis de retour ... et je me demande ... on a encore envie de me lire ?? loll

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05 décembre 2006

Une petite douceur ... en ce début d'hiver ...

Désolé. L'automne dans mon domaine, c'est le Rush.


Mais les incessantes demandes ont eu raison de moi.

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Un soir de ce mois passé ...

Elle est là, pourtant si près. La pièce juste au-dessus. Ce serait un don total. Gratuit ....

Une petite intrusion discrète dans sa chambre. Un réveil en sursaut au contact de nos peaux. Un doigt sur ses lèvres qui veut tout dire. Encore confuse, elle ne comprendra réellement que lorsque ma bouche caressera l'intérieur de ses cuisses, dénudées pour la nuit. Ces doux baisers auront tôt fait de lui faire comprendre que ces instants lui appartiennent ... à elle, et à son plaisir.

Ce sera lent. Ce sera long. Lent, pour que chaque caresse fasse désirer la prochaine. Long, pour prendre le temps de savourer chacun des coups que la langue se permet. Les frissons se succèdent. Les halètements aussi. Quelques doigts se rajoutent. Elle s'envole ... Elle est maintenant bien réveillée, pour prendre le temps de vivre cet instant ou, sans autre intention qu'un tendre plaisir, un homme lui donne enfin ce qui lui manque tant ...

14 novembre 2006

Excuses !

Je suis désolé.

Je suis une vraie victime ces temps-ci. On prend de mon temps partout.

Je reviens avec la suite bientot !!

J'vous aimes quand même !!

Paix dans vos tête/coeur

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03 novembre 2006

Cause de mon absence. Tome 1.

Les yeux autorisant étaient bien beaux. C'est l'attitude le reste du temps qui laissait à désirer !! Mais ne vous en faites pas. Cette absence prolongée avait un nom. Et toute une raison d'être !!

Ça a commencé comment cette histoire là dont ? Aaahh oui !! Un sauvetage !! Ça doit faire un bon trois mois de ça. Elle était là, à l'entrée de l'Endroit (un gentleman ne dit pas ce genre de chose !). C'était une nouvelle, comme il y en a souvent. Un joli sourire, mignonne, mais tellement pas mon genre. Vous savez, moi, les petites blondinettes ?! Bon. Cela dit, c'est là que je l'ai vu pour la première fois, et c'est aussi intégralement ce que j'avais pensé. Mais là demoiselle était en détresse ! Un vieillard lui racontait sa vie via la béante ouverture dans le mur de l'Endroit. Le tout donnant une sorte de look de terrasse à l'intérieur de l'Endroit, laissant malheureusement aussi place à des situations trop nombreuses de conversations indésirables.

J'attendais sagement la demoiselle qui m'accompagnait à ce moment (Mademoiselle A) qui était au petit coin lorsque le vent a soufflé une bride de la conversation ou plutôt, que dis-je, du monologue du vieillard à mon oreille. Pauvre elle. Voyant une autre pauvre victime de la métropole, à sa manière, victime de l'abondance et de son effet pervers, je me devais de réagir. C'est d'ailleurs ce que je fis, en retournant dans l'Endroit pour feinter ma venue nouvelle et ainsi l'obliger à mettre un terme, bien malgré lui, à la conversation à sens unique qu'il tenait à ce moment.

Les yeux de la demoiselle eurent l'air de ceux d'un nomade devant l'oasis, de Bernard Voyer devant le fanion du sommet de l'Everest, d'Yves Corbeil devant la poule .... vous comprenez. Aucun client ne s'était pointé dans les dernières minutes, et elle était bien heureuse d'enfin pouvoir mettre poliment un terme à sa souffrance. J'ai donc feint, à haute voix, être un client désirant une table pour 28 personnes ... L'homme se retourne ayant perdu l'attention de son seul auditoire trop poli, et quitte les lieux. Je dis : " Bon t'as la paix là ! J'peux m'en aller maintenant, ma mission est terminée !! Ça t'arrives pas trop souvent j'espère ? " Et elle de répliquer : " Non ... mais merci !! Vraiment ! Je ne savais plus quoi faire !! " En effet, ça paraissait !

C'était un geste bien, posé non pas comme une "mine", mais bien par gentillesse pour cette pauvre jolie demoiselle, qui ne pouvait agir autrement. Elle était mignonne. Mais c'est tout. J'avais autre chose en tête à ce moment là. Bien trop d'autre chose. Loin d'insister, j'avais continué mon chemin. Et bizarrement, le chemin a décidé de se paver autrement que ce qui était prévu. On s'est salués pendant un bon 2 mois, poliment, avant que ça prenne une autre avenue .... ça vous intéresse ? Ahahah

21 octobre 2006

Yeux autorisants ; et leurs chaleureuses conséquences

YEUX AUTORISANTS n.m. : Regard posé d'une demoiselle se retrouvant face à un homme duquel elle apprécie la présence. Regard aucunement provocateur donnant, dans un langage on ne peut plus 'non-verbal', l'autorisation très discrète à l'homme de procéder à un rapprochement corporel, avec les conséquences qui en découlent. Très peu de femme savent s'en servir. Et surtout très peu d'hommes savent le percevoir.

J'étais chez moi. Elle aussi d'ailleurs. En fait, NOUS étions chez moi.

Nous étions sur le divan, lequel est malheureusement trop petit pour y être confortable sans contact humain. Aucunement par choix, mais bien par nécessité; salon gros comme une couille l'obligeant. La soirée avait été plutôt relax. Elle avait commencée par la fin d'une partie de hockey avec quelques bières. Quoi de plus classiques. L'heure et quelque de discussion qui avait suivie avait été des plus révélatrices. Non pas sur la tournure de la soirée, mais bien sur les facultés de raisonnement de la demoiselle. Elle est intelligente, allumée ... et elle dispose de ce petit quelque chose de sexy que seules les filles de ce genre ont. Ce minuscule quelque chose qui ne se voit pas, mais qui ce sent. Cette petite boule d'émotions imaginées qui ne demandent qu'à être concrétisées, mais dans la discrétion. C'est de l'ensemble des gestes, du regard et des paroles qu'émane ce petit quelque chose. Il faut y être attentif.

Je me lève doucement ... pour aller chercher une autre bière. J'avais deux prétextes possibles. Ça, ou aller aux toilettes. La bière, c'est beaucoup plus charmant non ? J'oublie de me lever assez pour ne pas passer très proche de son visage. La conséquence est directe … et elle l’avait appréhendée : deux paires de lèvres se retrouvent ainsi liées, avec une fougue assez inattendue pour un premier contact. 5-10-15 secondes … on s’apprivoise, on se goûte … et OUPS ! Je me lève. Je lui lance un : «ça, c’était pour la route ! ». Réaction : éclat de rire. Je vais chercher une bière. Arrêt discret à la salle de bain. De retour.

Ma sobriété relative, après 2-3 bières seulement, me permet de constater que la demoiselle s’est donnée la permission de prendre la majeure partie de l’espace béant laissé libre par ma récente escapade. Elle s’en permet pas mal ! Je lui en fais part, elle ne bronche pas. Je l’avise qu’une telle action l’expose à des réactions lourdes de conséquences. Elle ne bronche pas. C’est donc à l’horizontale que je me retrouvai aussi. Je m’installe comme chez-moi, en plus que j’y étais bel et bien. Je me glisse derrière elle sur le minuscule divan deux places, la moitié de mon long corps dépassant à l’extrémité.

Ce léger inconfort était sans aucun doute amplement compensé par la sensation de ce corps contre le mien, celui d’une jolie grande brunette, comme je les aime.

Mes lèvres frôlant son cou, ses hanches et ses fesses cherchant la proximité, se cambrant à chacune de mes expirations; je croyais rêver. Mes bras ont tôt fait de l’envelopper. Mon bras droit sous sa tête, la main gauche empoignant sa hanche, mes longs doigts s’évadant sur le bas de son ventre, frôlant doucement … caressant … Nos deux corps, suivant le modèle de nos esprits des dernières minutes, se trouvent fusionnés. Même sensation de confort des deux côtés, même flot de désir croissant des deux côtés. La passion suit sa courbe d’ascension, le niveau de sensibilité monte les escaliers deux par deux … Nous sommes maintenant face à face, à s’embrasser fougueusement, propulsés par chaque baiser antérieur vers un encore plus riche en intensité. Chaque partie du corps en voyant une de l’autre personne tente de s’en approcher. Le regard égaré qui veut tout dire, nos doigts caressant nuque, joues, cheveux … corps …

À suivre …

01 octobre 2006

La Suite #2 !!!!

C'est fou à quel rythme il est possible de rencontrer quelqu'un, avoir un kik dessus, être réellement intéressé, ça foire, petite chicane .. et plus aucun intérêt.

Dans le coin d'où je viens, ce cycle là s'étendait sur des mois.

Ici en plein Montréal, c'est une question de jours !!

Elle a voulu fuir, être bête gratuitement alors que la situation ne l'imposait aucunement ?? Tant pis pour elle !!! Le mec est déjà passé à autre chose. Et ce qui devait arriver arriva : Mademoiselle tente un léger rapprochement. Too late ma grande !!!

Je suis maintenant de glace. Aussi froid qu'un truck de Coors Light sur lequel on se colle la langue. Aussi froid qu'une Ontarienne. Aussi froid qu'elle a pu l'être. Dommage.

Les filles, vous devriez vous réveiller quand c'est le temps quand un mec qui vaut la peine traine autour. Votre sens de détection des bons gars semble tellement lent que le mec a le temps de passer à autre chose quand vous vous en rendez compte. C'est surement une conséquence dûe au fait que trop d'entre nous sont des crosseurs. Mais c'est pas le cas de tout le monde !!!

Je suis déja passé à autre chose. Pas qu'elle n'a pas eu le temps !!

Ahhhhhhhh la vie !!!

25 septembre 2006

La suite !!!

Toute cette histoire ne pouvait pas se terminer comme ça. Le soir même, je suis tanné de me faire du mauvais sang et je l'appelle. Si elle passe par douze détours avant de dire la vérité, j'ai compensé en en prenant -4 !!!

Du genre :

Moi : Salut .. ça va ?
Elle : Oui toi ?
Moi : Oui ... C'tu moi ou t'était crissement bête tantôt ??
Elle : Moi ? Bin non .. en tk .. dsl si je l'étais.

MESSEMBLE !!! C'était TRÈS prémédité et calculé comme agissement. Pis en plus elle ose jouer l'innocente !! Mais bon... j'en ai profité pour la faire parler un peu. Lui faire dire plein de chose que je sais qu'elle ne pense pas vraiment. C'était décevant de voir ce qui peut sortir de la bouche de quelqu'un qui décide de faire comme si rien n'était !!

Je l'ai même revu. Et là, on a eu droit à un épisode de fuite !!! Oui oui !!! Même qu'une de ses collègues lui a gentiment mis les pieds dans les plats en m'ouvrant une porte que je n'ai pas manqué de prendre pour lancer une flèche tellement subtile que tout le monde l'a prise au premier degré, en répondant par le rire. Sauf elle biensûr, qui a sans aucun doute vu la pointe de la flèche de très près. Le regard et les mots bien choisis, ce que ça peut faire !!!

À ma sortie, elle s'était volatilisée !! Mais ses collègues vachement sympathique avec moi par contre ! Comme quoi elle a pas dû bitcher tant que ça ...

Rien n'est perdu.

Y'a même la caissière de l'épicerie (52 ans ... des enfants plus vieux que moi ..) qui m'a bondée de compliment sur mes yeux tantot !! J'y repense ... 2 litres de lait, c'est pas assez !! J'y retourne .... de CE pas !! MMMhhhhhh

23 septembre 2006

Asti de tabarnak de calice.

Les propos précédents et suivants sont teintés d'une colère très actuelle. Du genre : y se passe de quoi qui te fait VRAIMENT chier pis tu écris 5-10 minutes après.

Les filles, calice, pourquoi est ce que vous ressentez absolument le besoin d'être bête comme vos deux pieds lorsque vous avez le moindre message à faire passer ??

Je sais, il y a des ***** de taches parmis nous, les hommes, qui ne comprennons pas du premier coup. Mais il y a aussi des gars avec une tête sur les épaules et surtout un coeur qui peut être dévasté par un agissement de la sorte.

En gros résumé, elle semblait intéressée, me laisse ses nombreux numéros de tel où la rejoindre, on se voit deux fois "seul à seul", on rit beaucoup. Elle est belle comme tout, sage, trop hot, en forme, souriante, joviale, intelligente ... et surtout brunette !! Elle me dit ELLE-MÊME de la rappeler !! Et c'est ce que je fais, 2-3 jours après. Elle est avec une amie, s'apprête à souper, et me dit qu'elle va rester tranquille après, travail le lendemain l'obligeant. Je me dis que l'excuse est un peu bidon, considérant le fait que j'avais vu cette demoiselle deux fois très tard même si elle travaillait le lendemain. Mais étant moi-même très fatigué, je n'insiste pas et lui dit qu'on se reprendra. Je lui dis de me rappeler le lendemain matin (c'est à dire aujourd'hui), elle dit qu'elle le fera. Elle ne le fait pas.

Fréquentant l'endroit où elle travaille, je la croise cet après-midi. En sortant, je lui dit : '' bon c'est ça tu m'as oublié ? ''. Elle répond : '' j'ai pas eu le temps, j'avais pas juste ça à faire j'avais plein de trucs ".

HEY !!! Belle excuse poche ça !! Je lui réponds dans ma tête : " Si t'avais vraiment voulu tu l'aurais fait. " Je suis parti de là .. comme si de rien était. Elle froide comme de la glace, moi refroidi comme une Ontarienne ...

Les choses qui vont trop vite ont tendance à pogner le champ. Pourtant cette fois là le temps avait été pris. Du moins selon moi.

Peu importe le message qu'elle a voulu me faire passer, elle aurait pu le faire autrement. S'il c'était passé quoique ce soit, j'dis pas. Mais là ....

Les filles ... j'ai le regret de vous dire que je vous emmerde royalement.

Pour le moment.

22 septembre 2006

Vraie victime .. pour une fois !!

C'était la semaine dernière. Un beau samedi ensoleillé typique de promenade dans le centre-ville. Après avoir foulé le plancher de maintes boutiques, les trottoirs de Ste-Cath d'un bout à l'autre, je regagne finalement ma voiture, en compagnie d'une nouvelle connaissance. ( Voiture : ce genre de truc que les gens de l'extérieur de l'Île conservent même lorsqu'ils y déménagent, travail et appart dans l'Est l'obligeant ! )

À notre droite, un itinérant d'allure tranquille, un vieil homme noir s'approche de moi. Il s'exprime dans un anglais ABSOLUMENT incompréhensible. Je ne comprends RIEN. Il monte le ton et me répète la même maudite affaire. Je lui réponds dans ce qui semble être sa langue : " Don't talk to me ... go away !! '' Et là il me touche !! Croyez-moi, il n'était pas né de la dernière pluie. Il n'aurait pas eu le temps de puer autant.

Vous m'expliquerez c'est quoi l'intérêt d'un vieux et minuscule désaxé de la sorte d'insister voire même de s'attaquer à un gars qui fait quand même 6'2/200lbs et ce, en plein centre-ville, autour de 17h. Je ne la comprends pas. Je l'ignore donc, pensant à ma mère qui serait fière de me voir agir de la sorte. Je me glisse dans mon véhicule, et le vieux cave prend ma portière à deux mains et la claque le plus fort qu'il le peut : me touchant presque le genou !!

Vous comprendrez que face à la menace que l'individu représentait pour ma propriété et pour ma santé, j'ai aussitôt rebondit hors de mon véhicule fixant l'homme avec un beau gros sourire et lui disant, le plus respectueusement qui soit : " Sorry Sir, you won't do that again, go away fucker ".

Il fait mine de s'avancer vers moi, et c'est à ce moment que je vois deux lardons du valeureux corps de police de Montréal, faisant mine de ne rien voir de la scène, se tenir debout de l'autre côté de la rue. L'individu est rendu à 2 pouces de ce que j'appelle '' la bulle d'auto-défense ". Bulle dans laquelle une personne qui m'est inconnue ne doit pas se retrouver, si ce n'est par accident où par obligation, s'exposant à une réaction assez vive. Je ne suis pas quelqu'un de violent, loin de là, mais rendu proche de même et se voulant menaçant, il risquait beaucoup.

Ce n'était heureusement qu'une feinte, il se rapproche brusquement mais se retourne et se dirige vers l'autre côté de la rue, se faisant presque faucher par le traffic. Tout le monde le klaxonne, les policiers ne se tournent même pas, sachant très bien ce qui se passe.

Je monte à nouveau dans mon véhicule, regarde ma nouvelle connaissance, fraichement débarquée en territoire urbain et lui dit : Bienvenue à Montréal ma chère !!!

14 septembre 2006

Madame la Célibataire Urbaine.

Bravo à Andrée-Anne !!

Je devrais dire Célibataire Urbaine ?? Nahhh ... pu depuis que le voile est levé ... en plein Journal de Mtl en plus !!

Il y a de celà un bon bout de temps, j'étais tombé par le plus pur des hasards sur un blog MSN, le premier qui a capté mon attention. Le seul que j'ai suivi. Celui où il n'y avait que quelques personnes, toujours les mêmes. Depuis, le saut vers blogspot. Des hauts, des bas, un pètage de coche, du monde épais ... une vie mouvementée et maintenant la gloire !!

Ce n'est aujourd'hui plus rare que des gens savourent ce qu'elle écrit. Mais ce talent là pour faire rire n'importe qui lui rapporte enfin.

Gloire à toi, honorable C.U. !!